"La couverture isolante assurée par le verre cellulaire reste étanche à l'air et à l'humidité dans le temps sur toute son épaisseur, signale l'architecte.De plus, malgré son prix élevé (Ndlr : 400 euros le m3), la couche isolante garde sa rigidité dans le temps, et sa résistance thermique sur toute la vie du bâtiment." En complément, d'être absolument étanche à l'eau et à la vapeur, ce produit issu du recyclage du verre est recyclable, garantit son fabricant.
"Notre intervention a visé à améliorer la situation actuelle par l'isolation (extérieure), le traitement solaire (brises-soleil et stores), l'optimisation de l'acoustique (faux-plafonds et parvis), l'emploi de matériaux HQE et le traitement de la ventilation", ajoute l'architecte.
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Quand le DPE est "aberrant" pour certains bâtiments patrimoniaux (ABF)
