Grâce à un calculateur mis en place à Toulouse par Réseau de transport d'électricité (RTE), la production de l'énergie éolienne en France est désormais suivie en temps réel et fait l'objet de prévisions pour le lendemain.
La production de l'énergie éolienne en France est désormais suivie en temps réel et fait l'objet de prévisions pour le lendemain, grâce à un calculateur mis en place à Toulouse par Réseau de transport d'électricité (RTE), vient d'annoncer la direction de RTE. Surnommé «Ipes» (Insertion de la production éolienne dans le système), ce dispositif permet la gestion au plus près des flux d'électricité en suivant et en prévoyant la production éolienne dans toute la France. Avec ce calculateur, «nous pouvons prévoir ce qui va se passer dans la production éolienne et donc savoir avec une légère anticipation s'il faudra lancer ou réduire la production de centrales thermiques ou nucléaires pour adapter la production de tout le territoire à la consommation», explique Denis Hoffmann, directeur de RTE Sud-Ouest.
Alimenté toutes les 6 heures par Météo-France, qui fournit la force des vents dans les zones où se trouvent les parcs éoliens pour les 24 heures à venir, ce dispositif répercute les informations dans les 8 centres de coordination du transport de l'énergie électrique de RTE.
A noter que dans l'Hexagone, la part de l'éolien a représenté 1% de l'électricité en 2009 (soit 7,8 TWh), contre 75% pour le nucléaire, 12% pour l'hydraulique, 11% pour le thermique à combustible fossile et 1% pour la biomasse, le biogaz...
Alimenté toutes les 6 heures par Météo-France, qui fournit la force des vents dans les zones où se trouvent les parcs éoliens pour les 24 heures à venir, ce dispositif répercute les informations dans les 8 centres de coordination du transport de l'énergie électrique de RTE.
A noter que dans l'Hexagone, la part de l'éolien a représenté 1% de l'électricité en 2009 (soit 7,8 TWh), contre 75% pour le nucléaire, 12% pour l'hydraulique, 11% pour le thermique à combustible fossile et 1% pour la biomasse, le biogaz...
