ETUDE. Fédérations françaises et européennes des infrastructures routières ont publié les résultats d'une étude comparative mondiale (à télécharger à la fin de l'article) sur les usages de la route et des nouvelles mobilités. De quoi mettre en évidence de grands écarts dans les perceptions, les moyens consacrés, les stratégies et peut-être de tenter de s'inspirer des bons exemples.


Alors que les nouvelles mobilités, décarbonées, connectées, autonomes, actives, ne vont avoir de cesse de s'imposer, comment est perçu le rôle de l'infrastructure et des équipements de la route dans différents pays du monde ? Quel rôle est donné à la route, quelle stratégie et quels moyens y sont consacrés pour faciliter le développement des nouveaux usages ?

 

C'est en partie à ces questions qu'ont voulu répondre Routes de France, la Fédération européenne de la route (ERF) et la Fédération nationale des travaux publics (FNTP), en collaboration avec la Fédération de l'industrie européenne de la construction (Fiec) et la Confederation of international contractors' associations (CICA) dans une étude comparative portant sur 20 pays, sur 4 continents (à retrouver en intégralité à la fin de cet article). Dévoilés il y a quelques semaines, ses résultats feront l'objet d'un débat autour du député européen Dominique Riquet, membre de la commission des transports et du tourisme, ce 14 octobre.
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