FOCUS. Le nombre de branchements aux réseaux de chaleur urbain a quasiment été multiplié par deux en 10 ans, mais cette augmentation ne suffit pas à faire diminuer les émissions de gaz à effet de serre du chauffage, selon une étude de la Fedene. Avec un taux d'ENR&R frôlant les deux tiers, la production de cette filière est pourtant déjà très vertueuse.


Si l'une des solutions pour décarboner le chauffage consiste à recourir aux réseaux de chaleur urbains, alors il y a encore du travail. Voilà en substance ce qui ressort de l'enquête annuelle réalisée par la Fedene, la Fédération des services énergétiques et environnementaux qui représentent les acteurs de la chaleur et du froid renouvelables, et Amorce, une association de collectivités locales spécialisée notamment dans l'énergie.

 

 

L'étude, qui a été menée sous la tutelle du Service des données et études statistiques (SDES) du ministère de la Transition énergétique, démontre ainsi que "le nombre de bâtiments connectés aux réseaux de chaleur a enregistré une croissance de
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