A travers cette démarche, le gouvernement souhaite améliorer et activer la rénovation du parc. Ainsi, les ambitions sont affichées clairement. Découvrez lesquelles ci-dessous.

- «Remplir les engagements européens et internationaux en terme d'efficacité énergétique à l'horizon 2020 et 2050»;

 

- «Anticiper le règlement européen qui implique un retrait du marché des lampes à vapeur de mercure haute pression en avril 2015 (le délai de disparition des équipements en place sera ensuite d'au moins 10ans) et les textes législatifs français à paraître imposant des actions pour réduire les nuisances lumineuses»;

 

- «Réduire la pointe d'appel d'électricité : aujourd'hui le pic de puissance appelée à la tombée de la nuit est de 1260 MW. Cette puissance pourrait être réduite de plus de 25% avec cette mesure»;

 

- «Réserver l'emploi et développer les compétences et l'innovation : les équipements d'éclairage public sont fabriqués essentiellement en France et installés par des entreprises établies en France»;

 

- «Réduire les nuisances lumineuses afin de contribuer notamment à la préservation de la biodiversité et la qualité d'observation de la voûte céleste».

 

Réaction
Si le syndicat de l'éclairage «se réjouit de cette mesure» puisque selon lui, elle est «indispensable à l'évolution du parc existant», il estime qu'une année «ne suffira pas pour assurer le renouvellement de 40 % du parc jugé vétuste et énergivore». Il souhaite ainsi que cette opération obtienne un succès afin de prolonger l'initiative sur plusieurs années.

 


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