MOBILITÉ. Invité lors des vœux du think-tank TDIE, le nouveau directeur général des infrastructures, des transports et des mobilités, Rodolphe Gintz, a été interrogé par les deux coprésidents sur deux grands sujets en attente dans le secteur : la loi de programmation des infrastructures et le lancement d'assises autour de l'avenir de l'autoroute. Avec des débats qui devront mieux prendre en compte des objectifs de "service" et l'adaptation des infrastructures.


Comme dans le logement, le secteur des mobilités est en attente : celle de la nomination d'un ministre ou secrétaire d'Etat en charge d'une thématique au cœur de la vie des Français. Chez TDIE, qui organisait ses vœux le 30 janvier 2024 à la Maison des travaux publics, symbole de "la puissance des TP au XIXe siècle, à l'époque où nous avions un grand ministère des Transports, souligne avec une pointe de malice Philippe Duron, coprésident du think tank, nous espérons que nous aurons un grand ministère de plein exercice pour rassurer, guider et financer".

 

Point de ministre de plein exercice à ce moment, donc, mais un directeur général des infrastructures, des transports et des mobilités, récemment nommé à la tête de l'administration centrale, présent pour entendre les doléances du secteur. Rodolphe Gintz a commencé par faire une mise au point : "Nous avons un ministre des Transports. Il s'agit de Christophe Béchu, très investi" sur ses questions, assure-t-il. À tel point qu'il n'y a "pas un jour sans
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