TRANSITION. Les négociateurs du Conseil et du Parlement européens se sont entendus pour faire encore progresser la part des énergies renouvelables dans la consommation énergétique du Vieux Continent d'ici 2030. Une décision qui impactera les bâtiments, et notamment les systèmes de chauffage et de refroidissement.


Décidément, l'Europe ne cesse de revoir ses ambitions à la hausse. Lorsque le Conseil de l'Union européenne était sous présidence française en juin 2022, il avait déjà adopté des "orientations générales" sur deux propositions en rapport avec le fameux paquet de mesures législatives "Ajustement à l'objectif 55" ("Fit for 55"). Cela impliquait concrètement de doter les directives communautaires sur les énergies renouvelables et l'efficacité énergétique d'objectifs encore plus ambitieux que ceux fixés à l'origine.

 

 

Début mars 2023, les négociateurs des États-membres et du Parlement européen ont ensuite passé un accord sur l'efficacité énergétique qui prévoit de diminuer d'au moins 12% la consommation d'énergie finale de l'UE en 2030. Une décision qui aura de nombreux impacts, comme sur les rénovations de bâtiments ou les réseaux urbains de chauffage et de refroidissement.

 

Puis, le 30 mars, les représentants du Conseil et du Parlement se sont entendus pour faire passer la part des ENR dans la consommation énergétique du Vieux Continent à
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