LÉGISLATIVES 2024. La convocation d'élections législatives anticipées amène les organisations professionnelles à renouveler leurs propositions économiques. La dissolution de l'Assemblée nationale annule de fait tous les projets et propositions de loi qui étaient examinés jusqu'à présent.


Dans la foulée des élections européennes de ce 9 juin 2024, la dissolution de l'Assemblée nationale décidée par Emmanuel Macron ouvre une période d'incertitudes. À l'image des autres secteurs économiques, la construction et l'énergie s'interrogent sur la manière dont le futur hémicycle s'attellera aux enjeux qui les concernent.

 

Par voie de communiqué, la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME) a souhaité, pour sa part, rappeler ses "priorités". Et aussi l'état actuel des finances publiques : "La situation budgétaire de notre pays, qui croule sous le fardeau d'une dette publique dépassant les 3.000 milliards d'euros, rend indispensable et prioritaire une réforme de l'action publique intégrant enfin une limitation du poids de la fonction publique", épingle la fédération patronale, dont est membre la Fédération française du bâtiment.

 

Politique de l'offre

 

Sans surprise, elle appelle aussi de ses voeux une
Il vous reste 74% à découvrir.
Ce contenu est réservé aux abonnés
Déja abonné ? Se connecter
Abonnez-vous maintenant pour le lire dans son intégralité
Et bénéficiez aussi :
D’un accès illimité à tous les articles de Batiactu
D’une lecture sans publicité
De toutes les interviews et analyses exclusives de la rédaction
actionclactionfp