A l'origine de la réalisation, une volonté de profiter des 40 hectares de terrain en Corrèze possédés par les parents de l'architecte, eux-mêmes maîtres d'œuvre du chantier. Problème, la zone constructible est une zone naturelle d'intérêt écologique faunistique et floristique (ZNIEFF).

 

L'emplacement qui était un des atouts, est donc devenu au moment du chantier un obstacle au permis de construire. Heureusement, les communes voisines, ainsi que le Conseil régional, ont tenu à soutenir le projet via le vote d'un nouveau plan local d'urbanisme (PLU).

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