Les travaux de démolition d’une partie du bidonville de Cassis, l’un des derniers de France, ont débuté, premier pas vers le relogement définitif des 90 Tunisiens qui occupent les lieux depuis 33 ans.
Réparti sur deux hectares, le chantier du bidonville de Cassis, apparu en 1972, doit se dérouler en trois étapes, selon une source municipale.
Tout d’abord, une quarantaine de cabanes seront démolies avant que ne soient entrepris des travaux de terrassement. Leurs habitants sont déjà relogés depuis quelques jours dans une résidence hôtelière voisine.
A l'automne, la quarantaine d'autres habitants du bidonville seront logés dans des mobile homes installés sur la partie aménagée. Des travaux de démolition et de terrassement seront alors réalisés sur l'autre moitié du site.
Enfin, courant 2006, Erilia, la société HLM choisie par la mairie pour construire un ensemble de trois immeubles comportant 130 logements sociaux, dont 30 (soit 90 chambrées) destinés aux Tunisiens, tous originaires de Mareth (sud), commencera les travaux de construction qui devraient durer entre 18 et 24 mois.
Mis à part le terrain mis à disposition par la commune, le coût total du projet devrait s'élever à quatre millions d'euros pris en charge par l'Etat au titre notamment de la réhabilitation de l'habitat insalubre.
Tout d’abord, une quarantaine de cabanes seront démolies avant que ne soient entrepris des travaux de terrassement. Leurs habitants sont déjà relogés depuis quelques jours dans une résidence hôtelière voisine.
A l'automne, la quarantaine d'autres habitants du bidonville seront logés dans des mobile homes installés sur la partie aménagée. Des travaux de démolition et de terrassement seront alors réalisés sur l'autre moitié du site.
Enfin, courant 2006, Erilia, la société HLM choisie par la mairie pour construire un ensemble de trois immeubles comportant 130 logements sociaux, dont 30 (soit 90 chambrées) destinés aux Tunisiens, tous originaires de Mareth (sud), commencera les travaux de construction qui devraient durer entre 18 et 24 mois.
Mis à part le terrain mis à disposition par la commune, le coût total du projet devrait s'élever à quatre millions d'euros pris en charge par l'Etat au titre notamment de la réhabilitation de l'habitat insalubre.
