L'Association des Industries de Produits de Construction (AIMCC) a listé les voies à privilégier pour favoriser la structuration des données produits dans les catalogues électroniques.
La priorité des industriels : rendre les données disponibles
L'AIMCC a inscrit aux premiers rangs de ses préoccupations la structuration des données descriptives des produits de construction dans les catalogues électroniques et a lancé la mobilisation des IDC (Industries De la Construction).
Celles-ci réaffirment que les efforts de structuration des données produits ne doivent pas se limiter aux seuls aspects logistiques (commande, livraison, facturation...), mais doivent aussi prendre en compte les aspects liés à la prescription en vue de s'assurer d'une mise en oeuvre correcte de ces produits. Pour les industriels, les notions de système de produits et de marque commerciale peuvent être essentielles dans la présentation des solutions qui seront retenues lors de la conception des ouvrages.
Deux solutions complémentaires à privilégier pour tenir compte de la réalité des marchés et des acteurs : SDC et NAPC
L'AIMCC soutient le développement en cours de la solution SDC (Dictionnaire Standard de la Construction) et simultanément celui de la solution NAPC ( Nomenclature d'Attributs de Produits de Construction) dans la mesure où ces solutions sont complémentaires l'une de l'autre et cohérentes entre elles.
L'ordre à suivre pour s'assurer de la future inter-opérabilité des informations produits.
Afin de maximiser les chances d'appropriation et de diffusion de solutions de langages viables, la priorité est d'achever la formalisation et la description des produits dans le modèle SDC et dans les messages d'échange tout en s'assurant d'une bonne prise en compte des IFC (Industry Foundation Classes) pour l'avenir. La mise au point des projets de maquettes numériques des IFC ne doit pas constituer un frein à l'avancée des travaux de modélisation et de description des produits.
Un facteur clé de réussite : un langage commun s'appuyant sur des normes
Pour les industriels, la contrainte économique liée à l'organisation des flux de données implique un référentiel unique s'appuyant sur les normes de structuration et d'échanges de données. L'AIMCC est attachée à ce que les solutions de structuration des données produits émergent à partir de normes volontaires reconnues au niveau international ou à partir de normes nationales cohérentes avec les normes internationales (EAN UCC, ISO PAS 12006-3, ISO PAS 16739, eb XML...)
Des plates formes d'échanges adaptées
Par ailleurs, l'AIMCC souhaite favoriser l'émergence de plate-formes d'échanges adaptées aux besoins et contraintes des industriels permettant aux distributeurs et prescripteurs d'y puiser les informations nécessaires.
Pour cela, l'AIMCC est prête à qualifier le contenu que ces offres de plate-formes pourraient offrir tout en laissant les acteurs libres du choix de l'une ou l'autre de ces offres.
Un déterminant majeur : la responsabilité des acteurs
Il revient aux fournisseurs de la construction de mettre à disposition de leurs partenaires des produits et des informations qui permettent à ceux ci d'exercer leur métier dans les meilleures conditions technico-économiques possibles.
Le dispositif institutionnel français prévoit que les professionnels de la conception et de la mise en oeuvre sont par ailleurs soumis aux obligations d'assurance de responsabilité décennale quel que soit le canal de distribution par lequel ceux ci se sont procurés les produits. Il est donc capital de traiter l'information produit à la hauteur des enjeux et des responsabilités propres à chaque acteur. Afin de clarifier le rôle respectif de la distribution et des fournisseurs en matière d'informations structurées, l' AIMCC est favorable à l'élaboration et à l'application d'une Charte de bon usage des informations produits dans les échanges électroniques.
L'AIMCC estime que la prise en compte des recommandations énoncées ci dessus est de nature à faire progresser l'ensemble de la filière construction.
L'AIMCC a inscrit aux premiers rangs de ses préoccupations la structuration des données descriptives des produits de construction dans les catalogues électroniques et a lancé la mobilisation des IDC (Industries De la Construction).
Celles-ci réaffirment que les efforts de structuration des données produits ne doivent pas se limiter aux seuls aspects logistiques (commande, livraison, facturation...), mais doivent aussi prendre en compte les aspects liés à la prescription en vue de s'assurer d'une mise en oeuvre correcte de ces produits. Pour les industriels, les notions de système de produits et de marque commerciale peuvent être essentielles dans la présentation des solutions qui seront retenues lors de la conception des ouvrages.
Deux solutions complémentaires à privilégier pour tenir compte de la réalité des marchés et des acteurs : SDC et NAPC
L'AIMCC soutient le développement en cours de la solution SDC (Dictionnaire Standard de la Construction) et simultanément celui de la solution NAPC ( Nomenclature d'Attributs de Produits de Construction) dans la mesure où ces solutions sont complémentaires l'une de l'autre et cohérentes entre elles.
L'ordre à suivre pour s'assurer de la future inter-opérabilité des informations produits.
Afin de maximiser les chances d'appropriation et de diffusion de solutions de langages viables, la priorité est d'achever la formalisation et la description des produits dans le modèle SDC et dans les messages d'échange tout en s'assurant d'une bonne prise en compte des IFC (Industry Foundation Classes) pour l'avenir. La mise au point des projets de maquettes numériques des IFC ne doit pas constituer un frein à l'avancée des travaux de modélisation et de description des produits.
Un facteur clé de réussite : un langage commun s'appuyant sur des normes
Pour les industriels, la contrainte économique liée à l'organisation des flux de données implique un référentiel unique s'appuyant sur les normes de structuration et d'échanges de données. L'AIMCC est attachée à ce que les solutions de structuration des données produits émergent à partir de normes volontaires reconnues au niveau international ou à partir de normes nationales cohérentes avec les normes internationales (EAN UCC, ISO PAS 12006-3, ISO PAS 16739, eb XML...)
Des plates formes d'échanges adaptées
Par ailleurs, l'AIMCC souhaite favoriser l'émergence de plate-formes d'échanges adaptées aux besoins et contraintes des industriels permettant aux distributeurs et prescripteurs d'y puiser les informations nécessaires.
Pour cela, l'AIMCC est prête à qualifier le contenu que ces offres de plate-formes pourraient offrir tout en laissant les acteurs libres du choix de l'une ou l'autre de ces offres.
Un déterminant majeur : la responsabilité des acteurs
Il revient aux fournisseurs de la construction de mettre à disposition de leurs partenaires des produits et des informations qui permettent à ceux ci d'exercer leur métier dans les meilleures conditions technico-économiques possibles.
Le dispositif institutionnel français prévoit que les professionnels de la conception et de la mise en oeuvre sont par ailleurs soumis aux obligations d'assurance de responsabilité décennale quel que soit le canal de distribution par lequel ceux ci se sont procurés les produits. Il est donc capital de traiter l'information produit à la hauteur des enjeux et des responsabilités propres à chaque acteur. Afin de clarifier le rôle respectif de la distribution et des fournisseurs en matière d'informations structurées, l' AIMCC est favorable à l'élaboration et à l'application d'une Charte de bon usage des informations produits dans les échanges électroniques.
L'AIMCC estime que la prise en compte des recommandations énoncées ci dessus est de nature à faire progresser l'ensemble de la filière construction.
