Après s'être porté candidat en août dernier, Fomento de Construcciones y Contratas (FCC) - deuxième groupe espagnol de BTP - ne présentera pas d'offre ferme au gouvernement français, dans le cadre du processus de privatisation de trois sociétés d'autoroutes.
Selon un porte parole du groupe espagnol, même si FCC ne présente pas d'offre au gouvernement français, il pourrait se mettre en contact avec les candidats retenus afin de constituer un éventuel consortium. Les trois autres candidats espagnols, Sacyr Vallehermoso, Abertis et Cintra, ont refusé de confirmer leurs offres à la presse, au nom de la confidentialité du processus.
Dix-huit investisseurs français et étrangers avaient déposé une offre indicative le 22 août, lors du premier tour organisé par le gouvernement, pour la reprise de trois sociétés d'autoroutes françaises: la Société des autoroutes du Nord et de l'Est de la France (Sanef), les Autoroutes Paris-Rhin-Rhône (APRR) et les Autoroutes du Sud de la France (ASF).
Pour le deuxième tour, seules sont autorisées les offres portant sur la majorité du capital. La décision finale sera rendue début décembre. L'Etat français espère tirer de ces opérations entre 12 et 14 milliards d'euros. Plusieurs rapports ont cependant évoqué des chiffres de valorisation bien supérieurs, jusqu'à 23 milliards d'euros pour l'ensemble des trois sociétés.
Dix-huit investisseurs français et étrangers avaient déposé une offre indicative le 22 août, lors du premier tour organisé par le gouvernement, pour la reprise de trois sociétés d'autoroutes françaises: la Société des autoroutes du Nord et de l'Est de la France (Sanef), les Autoroutes Paris-Rhin-Rhône (APRR) et les Autoroutes du Sud de la France (ASF).
Pour le deuxième tour, seules sont autorisées les offres portant sur la majorité du capital. La décision finale sera rendue début décembre. L'Etat français espère tirer de ces opérations entre 12 et 14 milliards d'euros. Plusieurs rapports ont cependant évoqué des chiffres de valorisation bien supérieurs, jusqu'à 23 milliards d'euros pour l'ensemble des trois sociétés.
