Le maire de Toulouse a indiqué qu'il souhaitait voir se développer le trafic ferroviaire aux dépens de trafic aérien. Grâce à la future ligne à grande vitesse Sud-Europe-Atlantique, la ville rose devrait être à environ trois heures de train de la capitale, d'ici à 2020.

Alors qu'il signait la convention par laquelle les collectivités de Midi-Pyrénées s'associent au financement de la ligne à grande vitesse (LGV) Tours-Bordeaux, le maire de Toulouse, Pierre Cohen, a clairement affiché sa préférence pour le train. Il a indiqué qu'il voudrait voir une réduction du trafic aérien au profit d'une augmentation du trafic ferroviaire. Il a également souligné que cela permettrait de désengorger l'aéroport de Toulouse-Blagnac.

 

Pour rappel, Tours-Bordeaux est le premier maillon de la future ligne à grande vitesse Sud-Europe-Atlantique (GVV SEA). Cette infrastructure doit mettre Toulouse à environ trois heures de train de Paris, contre cinq heures vingt actuellement.

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