Jusqu'à aujourd'hui, les éléments de la voûte de verre et d'acier conçue par l'architecte espagnol Santiago Calatrava pour recouvrir le stade olympique d'Athènes lors des JO de l'été 2004 n'ont pas encore été livrés.
Le Comité international olympique (CIO) commence à avoir les nerfs à vifs. Les éléments de la voûte du Stade, réalisés par diverses entreprises européennes, allemande et italienne notamment, auraient dû être livrés en avril dernier mais, à ce jour, rien n'est encore arrivé dans la capitale grecque et le CIO s'inquiète des conséquences de ce retard a constaté l'AFP.
Le CIO ne considère pas cet équipement comme indispensable et serait prêt à s'en passer mais les autorités grecques semblent y tenir.
"Le problème, a expliqué M. Oswald, est que, en attendant, les travaux d'infrastructure autour du stade sont bloqués et que l'on s'interroge sur la disponibilité du stade lui-même lorsque les travaux d'installation du toit auront commencé. S'ils commencent" a déclaré le responsable de la Commission de coordination du CIO pour ces Jeux 2004, Denis Oswald.
Il a avoué ne pas avoir réussi à trouver l'origine du mal, retard des fabricants ou lenteur des délais administratifs grecs.
M. Oswald a également reconnu suivre avec une attention particulière l'évolution de la construction du stade Karaïskakis, qui doit accueillir la finale du tournoi de football, et celle de la ligne de tramway qui doit relier le centre de la capitale à la zone côtière où de nombreux sites de compétition sont implantés.
Le CIO ne considère pas cet équipement comme indispensable et serait prêt à s'en passer mais les autorités grecques semblent y tenir.
"Le problème, a expliqué M. Oswald, est que, en attendant, les travaux d'infrastructure autour du stade sont bloqués et que l'on s'interroge sur la disponibilité du stade lui-même lorsque les travaux d'installation du toit auront commencé. S'ils commencent" a déclaré le responsable de la Commission de coordination du CIO pour ces Jeux 2004, Denis Oswald.
Il a avoué ne pas avoir réussi à trouver l'origine du mal, retard des fabricants ou lenteur des délais administratifs grecs.
M. Oswald a également reconnu suivre avec une attention particulière l'évolution de la construction du stade Karaïskakis, qui doit accueillir la finale du tournoi de football, et celle de la ligne de tramway qui doit relier le centre de la capitale à la zone côtière où de nombreux sites de compétition sont implantés.
