Après Lafarge, c'est au tour du cimentier suisse, Holcim, d'annoncer la suppression de 120 emplois. Les postes concernés sont ceux de l'administration centrale du groupe.

La fusion entre le groupe français Lafarge et le suisse Holcim ne se fera pas sans mal.

 

Alors que le français annonçait mardi soir la suppression 380 postes nets dans les fonctions centrales du groupe dans le monde, dont 166 en France, le suisse prévoit lui aussi de supprimer 120 emplois au sein de l'administration centrale du groupe en Suisse. Pour justifier cette décision, l'entreprise a indiqué qu'elle souhaitait doter la future entité LafargeHolcim d'une organisation simplifiée fortement centrée sur les pays dans lesquels il sera actif.

 

Il a aussi précisé que des discussions étaient en cours avec les collaborateurs concernés.

 

Pour rappel, la fusion des deux groupes doit faire naître un géant du béton de 27 milliards d'euros de chiffre d'affaires et 115.000 salariés, dans 90 pays.

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