La première édition du salon Maîtrise d'oeuvre 2008 aura lieu les 25 et 26 septembre prochain au Parc des Expositions de Strasbourg (Bas-Rhin). L'occasion de présenter une profession encore mal connue.
Batiactu : Vous êtes à l’initiative de la 1re édition du Salon Maîtrise d’œuvre (SMO)* qui se tiendra à Strasbourg, les 25 et 26 septembre prochain. Quel est le but de cette manifestation ?SMO : L’idée, c’est de se regrouper pour expliquer qui fait quoi, et à quel moment. En clair, expliquer les missions de la maîtrise d’œuvre, qui se divise en deux thématiques : la conception et la réalisation.
Nous voulons que ce salon soit un outil fédérateur pour lequel on peut parler des différents acteurs de la maîtrise d’œuvre sans polémique.
Batiactu : Polémique par rapport aux architectes ?
SMO : On n’a jamais été architecte, on n’est pas architecte et on ne sera jamais architecte ! C’est un faux débat, car, au final, on ne travaille pas sur les mêmes cibles. D’ailleurs, il serait judicieux que l’Unsfa (Union nationale des syndicats français d’architectes) soit présente au prochain SMO. De notre côté, il existe une réelle volonté d’intégrer les architectes DPLG à notre événement.
Batiactu : Qu’est-ce qui caractérise la maîtrise d’œuvre ?
SMO : Nos missions sont différentes de celles des architectes DPLG. Je rappelle que 80 à 90% de la cible de la maîtrise d’œuvre se composent de particuliers-privés. Quant aux chantiers, ils concernent pour 40% les maisons individuelles en direct avec leurs propriétaires. Longtemps l’amalgame a perduré entre les métiers d’architecte et de maître d’œuvre. Aujourd’hui, nous voulons marquer notre identité. Même si le secteur compte pas moins de 12.000 professionnels, seuls quelque 5.000 maîtres d’œuvre syndiqués sont identifiés. Ce qui en dit long sur le travail à mener pour communiquer sur notre profession.
(*) Le SMO est organisé sous l’impulsion du Conseil européen de la maîtrise d’œuvre en bâtiment (CEMOB), de l’Académie des architectes d’intérieur (AAI), de la Chambre des experts agréés communauté européenne (CEACE), de la Chambre nationale des architectes agréés, maîtres d’œuvre, métreurs, experts (CNAMOME), de la Compagnie nationale des experts immobiliers (CNEI), de la Société nationale des ingénieurs professionnels de France (SNIPF), de l’Union nationale des architectes d’intérieur, designers (UNAID) et de l’Organisation professionnelle de l’architecture et de la maîtrise d’œuvre (SYNAMOB).
Nous voulons que ce salon soit un outil fédérateur pour lequel on peut parler des différents acteurs de la maîtrise d’œuvre sans polémique.
Batiactu : Polémique par rapport aux architectes ?
SMO : On n’a jamais été architecte, on n’est pas architecte et on ne sera jamais architecte ! C’est un faux débat, car, au final, on ne travaille pas sur les mêmes cibles. D’ailleurs, il serait judicieux que l’Unsfa (Union nationale des syndicats français d’architectes) soit présente au prochain SMO. De notre côté, il existe une réelle volonté d’intégrer les architectes DPLG à notre événement.
Batiactu : Qu’est-ce qui caractérise la maîtrise d’œuvre ?
SMO : Nos missions sont différentes de celles des architectes DPLG. Je rappelle que 80 à 90% de la cible de la maîtrise d’œuvre se composent de particuliers-privés. Quant aux chantiers, ils concernent pour 40% les maisons individuelles en direct avec leurs propriétaires. Longtemps l’amalgame a perduré entre les métiers d’architecte et de maître d’œuvre. Aujourd’hui, nous voulons marquer notre identité. Même si le secteur compte pas moins de 12.000 professionnels, seuls quelque 5.000 maîtres d’œuvre syndiqués sont identifiés. Ce qui en dit long sur le travail à mener pour communiquer sur notre profession.
(*) Le SMO est organisé sous l’impulsion du Conseil européen de la maîtrise d’œuvre en bâtiment (CEMOB), de l’Académie des architectes d’intérieur (AAI), de la Chambre des experts agréés communauté européenne (CEACE), de la Chambre nationale des architectes agréés, maîtres d’œuvre, métreurs, experts (CNAMOME), de la Compagnie nationale des experts immobiliers (CNEI), de la Société nationale des ingénieurs professionnels de France (SNIPF), de l’Union nationale des architectes d’intérieur, designers (UNAID) et de l’Organisation professionnelle de l’architecture et de la maîtrise d’œuvre (SYNAMOB).
