Le projet de ville verticale des architectes madrilènes Eloy Celaya et Javier Pioz pourrait voir le jour à Shanghai, en Chine, selon le quotidien italien «La Stampa» daté de mercredi. Cent mille habitants prendraient alors place dans les 300 étages de la «Tour bionique» (1.228 m) et l’anneau de bâtiments qui entoure sa base.
A la recherche d’un lieu d’implantation depuis 2001, date des premières études de l’agence espagnole Cervera & Pioz, la ville verticale baptisée «Tour bionique» pourrait s’ériger à Shanghai (Chine) à l’horizon 2020. Une information divulguée par le quotidien italien «La Stampa», dans son édition du 20 septembre.
Le projet, qui serait construit sur une île artificielle, comporterait deux parties : une tour de 1.228 mètres de haut et une ceinture de bâtiments d’échelle réduite (base d’un kilomètre de diamètre).
L’ensemble totaliserait une surface de deux millions de mètres carrés. La tour serait composée d’une superposition de douze zones habitées (80 m de haut), entrecoupées d’une quinzaine de zones tampons (15 m de haut) utilisées en cas d’incendie. La population, estimée à 100.000 habitants, prendrait place dans les 300 étages du gratte-ciel au fur et à mesure de son édification. La tour et les bâtiments qui l’entourent accueilleraient tout un panel d’activités (bureaux, commerces, hôtels, hôpitaux, loisirs, espaces verts, etc.).
Question gestion des flux et structure, le projet imiterait le fonctionnement d’un arbre et de ses racines. Le tronc contiendrait les réseaux vitaux (eau, électricité, circulations), tandis que les ramifications souterraines s’ancreraient solidement au sol pour contrer les effets du vent (oscillation maximale de 2,45 m). Les matériaux de construction combineraient quant à eux le béton, l’acier, le verre et l’aluminium.
Le projet, qui serait construit sur une île artificielle, comporterait deux parties : une tour de 1.228 mètres de haut et une ceinture de bâtiments d’échelle réduite (base d’un kilomètre de diamètre).
L’ensemble totaliserait une surface de deux millions de mètres carrés. La tour serait composée d’une superposition de douze zones habitées (80 m de haut), entrecoupées d’une quinzaine de zones tampons (15 m de haut) utilisées en cas d’incendie. La population, estimée à 100.000 habitants, prendrait place dans les 300 étages du gratte-ciel au fur et à mesure de son édification. La tour et les bâtiments qui l’entourent accueilleraient tout un panel d’activités (bureaux, commerces, hôtels, hôpitaux, loisirs, espaces verts, etc.).
Question gestion des flux et structure, le projet imiterait le fonctionnement d’un arbre et de ses racines. Le tronc contiendrait les réseaux vitaux (eau, électricité, circulations), tandis que les ramifications souterraines s’ancreraient solidement au sol pour contrer les effets du vent (oscillation maximale de 2,45 m). Les matériaux de construction combineraient quant à eux le béton, l’acier, le verre et l’aluminium.
La "Tour bionique" en chiffres
Hauteur : 1.228 mètres
Nombre d’étages : 300 (plan maximum de 166 x 133 m)
Nombre d’ascenseurs : 368 (vitesse de 15 m/seconde)
Diamètre de la base : 1 km2
Surface totale : 2 millions de m2
Capacité : 100.000 habitants
Hauteur : 1.228 mètres
Nombre d’étages : 300 (plan maximum de 166 x 133 m)
Nombre d’ascenseurs : 368 (vitesse de 15 m/seconde)
Diamètre de la base : 1 km2
Surface totale : 2 millions de m2
Capacité : 100.000 habitants
