Newco, le nouveau numéro un mondial de l'acier, a obtenu mercredi le feu vert de Bruxelles, alors que les conseils d'administration des trois partenaires doivent avoir une ultime réunion pour finaliser leur accord et régler les problèmes de parités dans le capital.
Selon l'AFP qui cite des sources proches du dossier, les trois industriels se sont réunis séparément dans la matinée de mercredi pour examiner la demande d'Aceralia, appuyée par Arbed, de modifier la répartition initiale du capital de Newco, prévoyant d'accorder 56,5% du capital à Usinor, 23,4% à Arbed et 20,1% à Aceralia, hors participations croisées et actions d'autocontrôle
La répartition définitive du capital de Newco ne devrait "pas être éloignée" du projet initial, précise l'agence de presse en indiquant qu'Usinor garderait le contrôle. La source de l'AFP affirme par ailleurs qu'aucune soulte de compensation en faveur des deux autres partenaires n'est prévue.
L'Offre publique d'échange (OPE), qui marquera la constitution définitive de Newco, doit être lancée mi-décembre. Newco affichera un chiffre d'affaires de 30 millions d'euros pour 110.000 salariés.
D'emblée, les analystes avaient exclu le "scénario catastrophe" d'une rupture se soldant par l'abandon pur et simple de Newco, dont ils reconnaissent l'intérêt industriel sur un marché européen de l'acier déprimé, en surcapacité et dont les prix sont tirés vers le bas depuis 18 mois.
Selon la répartition initialement prévue du capital de Newco, 56,5% devaient revenir à Usinor, 23,4% à Arbed et 20,1% à Aceralia, hors participations croisées et actions d'autocontrôle.
La répartition définitive du capital de Newco ne devrait "pas être éloignée" du projet initial, précise l'agence de presse en indiquant qu'Usinor garderait le contrôle. La source de l'AFP affirme par ailleurs qu'aucune soulte de compensation en faveur des deux autres partenaires n'est prévue.
L'Offre publique d'échange (OPE), qui marquera la constitution définitive de Newco, doit être lancée mi-décembre. Newco affichera un chiffre d'affaires de 30 millions d'euros pour 110.000 salariés.
D'emblée, les analystes avaient exclu le "scénario catastrophe" d'une rupture se soldant par l'abandon pur et simple de Newco, dont ils reconnaissent l'intérêt industriel sur un marché européen de l'acier déprimé, en surcapacité et dont les prix sont tirés vers le bas depuis 18 mois.
Selon la répartition initialement prévue du capital de Newco, 56,5% devaient revenir à Usinor, 23,4% à Arbed et 20,1% à Aceralia, hors participations croisées et actions d'autocontrôle.
