A l’issue d’un appel d’offres, le ministre délégué à l’industrie, François Loos a retenu sept projets de centrales électriques fonctionnant à l’énergie éolienne.
Extension du parc éolien de Roquetaillade, Parc de Moulin Hecquet, Parc de Grés et Cabalas, Parc de la Haute Haye, Parc de la Bretelle, Parc du Pays Belmontais et du Parc du Chemin d'Ablis… tels sont les sept projets (cf. tableau ci-dessous) retenus par le ministre de l’Industrie. Répartis dans la région Centre, la Bourgogne, la Haute-Normandie, le Languedoc –Roussillon, le Midi-Pyrénées et la Picardie… ils représentent une puissance cumulée de 278,35 Mégawatt, pour un prix de vente moyen de 75 €/mégawatt/heure.
Ces sept projets ont été sélectionnés parmi les quatorze dossiers de candidatures reçus par la Commission de l’énergie (CRE). Les critère de choix portaient sur le coût, l’insertion dans l’environnement, la puissance installée ainsi que sur les capacités techniques et financières des promoteurs.
La construction de ces parcs nécessite l’obtention d’un permis de construire soumis à enquête publique. Néanmoins, le Ministère de l’économie espère que les premiers Mégawatt/heure seront produits dès 2006.
Ces sept parc éoliens contribueront au franchissement du cap des 2000 MW installés espérés pour début 2007. Une ambition qui s’inscrit également dans l’objectif fixé par la France d’atteindre un taux de 21% de consommation d’électricité d’origine renouvelable sur la totalité de sa consommation d’électricité en 2010.
Ces sept projets ont été sélectionnés parmi les quatorze dossiers de candidatures reçus par la Commission de l’énergie (CRE). Les critère de choix portaient sur le coût, l’insertion dans l’environnement, la puissance installée ainsi que sur les capacités techniques et financières des promoteurs.
La construction de ces parcs nécessite l’obtention d’un permis de construire soumis à enquête publique. Néanmoins, le Ministère de l’économie espère que les premiers Mégawatt/heure seront produits dès 2006.
Ces sept parc éoliens contribueront au franchissement du cap des 2000 MW installés espérés pour début 2007. Une ambition qui s’inscrit également dans l’objectif fixé par la France d’atteindre un taux de 21% de consommation d’électricité d’origine renouvelable sur la totalité de sa consommation d’électricité en 2010.
