Le leader mondial de la distribution du bricolage Home Depot a annoncé jeudi qu’il ne rachèterait pas son concurrent britannique Kingfisher, numéro 3 mondial du secteur. Sa stratégie s’oriente aujourd’hui vers la Chine.
Home Depot a mis un terme à plusieurs années de spéculations concernant le rachat de Kingfisher. Son directeur général Robert Nardelli a en effet déclaré jeudi qu’il n’était plus intéressé par le rachat du propriétaire de B&Q, de Castorama et de Brico Dépôt.
La raison ? L’Américain préfère se concentrer sur l’Asie plutôt que sur l’Europe. «Notre choix ne dépend par de l’intérêt que représente Kingfisher, c’est une bonne entreprise. Mais nous nous focalisons désormais sur la Chine et nous avons aussi beaucoup d’opportunités en Amérique du Nord et en Amérique centrale», a déclaré Rober Nardelli lors d’une interview au Financial Times. Selon lui, le niveau actuel de la croissance sur les secteurs ainsi que le fragmentation du marché rendent en effet quelque peu difficiles les investissements en Europe.
Concernant la Chine, si Home Depot a déjà engagé des discussions avec quelques cibles potentielles, comme Orient Home et Home World, Robert Nardelli souhaite prendre son temps pour réaliser une bonne acquisition. «Je ne veux pas faire une mauvaise transaction qui plongerait mon entreprise dans des difficultés irrémédiables. Nous avons examiné quelques affaires qui ne correspondaient pas à nos critères. Nous agirons lorsque le moment sera venu», a-t-il commenté.
Lowe’s, le numéro deux aux Etats-Unis reste toutefois un acquéreur potentiel de Kingfisher ! Affaire à suivre…
La raison ? L’Américain préfère se concentrer sur l’Asie plutôt que sur l’Europe. «Notre choix ne dépend par de l’intérêt que représente Kingfisher, c’est une bonne entreprise. Mais nous nous focalisons désormais sur la Chine et nous avons aussi beaucoup d’opportunités en Amérique du Nord et en Amérique centrale», a déclaré Rober Nardelli lors d’une interview au Financial Times. Selon lui, le niveau actuel de la croissance sur les secteurs ainsi que le fragmentation du marché rendent en effet quelque peu difficiles les investissements en Europe.
Concernant la Chine, si Home Depot a déjà engagé des discussions avec quelques cibles potentielles, comme Orient Home et Home World, Robert Nardelli souhaite prendre son temps pour réaliser une bonne acquisition. «Je ne veux pas faire une mauvaise transaction qui plongerait mon entreprise dans des difficultés irrémédiables. Nous avons examiné quelques affaires qui ne correspondaient pas à nos critères. Nous agirons lorsque le moment sera venu», a-t-il commenté.
Lowe’s, le numéro deux aux Etats-Unis reste toutefois un acquéreur potentiel de Kingfisher ! Affaire à suivre…
