Le groupe italien de construction Impregilo a indiqué jeudi que son conseil d'administration, réuni d'urgence après l'ouverture d'une enquête sur ses comptes, avait renouvelé sa confiance à ses dirigeants.
Le conseil d'administration "renouvelle sa confiance pleine et entière à son président (Paolo Savona, ndlr) et à son administrateur délégué (Pier Giorgio Romiti, ndlr) et est convaincu que l'enquête du procureur de la République ne pourra que confirmer le caractère infondé des hypothèses de l'enquête", a-t-il indiqué dans un communiqué.
Il a en outre demandé à la justice d'achever au plus vite son enquête en raison des "dommages graves et injustifiés qui ont touché la société en raison de la diffusion erronée d'informations".
Impregilo a en outre demandé à la Consob, l'autorité boursière italienne, de procéder à "des vérifications" afin de ramener la confiance autour de la société.
La société va mettre en outre en oeuvre des actions judiciaires pour obtenir une indemnisation des dommages causés par la diffusion d'informations par une agence de presse mercredi, poursuit-elle dans le communiqué.
Le titre Impregilo avait plongé de 37,59% mercredi après une longue suspension de séance. L'enquête judiciaire ouverte sur les comptes 2003 du groupe italien de construction porte sur la valorisation au bilan d'un crédit de 296 millions d'euros accordé à une de ses filiales en liquidation.
Il a en outre demandé à la justice d'achever au plus vite son enquête en raison des "dommages graves et injustifiés qui ont touché la société en raison de la diffusion erronée d'informations".
Impregilo a en outre demandé à la Consob, l'autorité boursière italienne, de procéder à "des vérifications" afin de ramener la confiance autour de la société.
La société va mettre en outre en oeuvre des actions judiciaires pour obtenir une indemnisation des dommages causés par la diffusion d'informations par une agence de presse mercredi, poursuit-elle dans le communiqué.
Le titre Impregilo avait plongé de 37,59% mercredi après une longue suspension de séance. L'enquête judiciaire ouverte sur les comptes 2003 du groupe italien de construction porte sur la valorisation au bilan d'un crédit de 296 millions d'euros accordé à une de ses filiales en liquidation.
