Le groupe allemand de matériaux de construction Heidelberger Zement a annoncé une baisse de 43,7% sur un an de son bénéfice net au premier semestre, à 80 millions d'euros.
Quasiment tous les indicateurs sont dans le rouge : en dehors de la baisse du bénéfice net, le bénéfice imposable du groupe a reculé de 25% à 155 millions d'euros et le résultat opérationnel de 13,3% à 208 millions d'euros entre janvier et fin juin. Seul le chiffre d'affaires consolidé affiche une très légère progression de 0,7% à 3,22 milliards d'euros mais essentiellement grâce à des effets de change. Corrigé de ces effets et à périmètre comparable, le chiffre d'affaire affiche une contraction de 1,1% sur six mois.
"Comparé au premier trimestre qui fut faible, le deuxième trimestre a connu une bonne évolution" commente le groupe dans son communiqué. "Compte tenu des premiers éléments dont nous disposons, Heidelberger Zement mise sur un chiffre d'affaires stable sur l'ensemble de l'exercice mais, au niveau du résultat opérationnel, le retard accumulé au premier trimestre ne pourra être rattrapé". En clair, le groupe prévoit un bénéfice opérationnel en baisse par rapport à l'an dernier.
Comme bon nombre d'industriels, le spécialiste des matériaux de construction, qui emploie 36.000 personnes dans le monde, souffre du ralentissement aux Etats-Unis et de la morosité persistante du secteur du BTP sur son marché national.
"Comparé au premier trimestre qui fut faible, le deuxième trimestre a connu une bonne évolution" commente le groupe dans son communiqué. "Compte tenu des premiers éléments dont nous disposons, Heidelberger Zement mise sur un chiffre d'affaires stable sur l'ensemble de l'exercice mais, au niveau du résultat opérationnel, le retard accumulé au premier trimestre ne pourra être rattrapé". En clair, le groupe prévoit un bénéfice opérationnel en baisse par rapport à l'an dernier.
Comme bon nombre d'industriels, le spécialiste des matériaux de construction, qui emploie 36.000 personnes dans le monde, souffre du ralentissement aux Etats-Unis et de la morosité persistante du secteur du BTP sur son marché national.
