Pour revaloriser le métier de gardien d’immeuble, un rapport remis à la ministre du Logement et de la Ville, Christine Boutin, propose la mise en place d’une véritable filière de formation.
Pour les avocats Françoise et Philippe Pelletier, auteurs du rapport qui compte 32 propositions, il serait utile de «construire une véritable filière de la formation des gardiens en complétant le CAP par un bac professionnel».
Car ce métier est en diminution. Selon une estimation du député UMP Pierre Lellouche, 10.000 emplois de gardiens d’immeuble auraient été supprimés au cours des dix dernières années, pour la seule région Ile-de-France.
Un coût supérieur à un milliard
En plus de moyens, le rapport propose de «demander à l’Agence nationale pour l’emploi d’entreprendre une campagne d’information sur le métier de gardien d’immeuble» notamment auprès des jeunes et des propriétaires et syndics de copropriété.
Une mesure qui aurait, au final, un coût fiscal de l’ordre de 70 millions d’euros, si elle concernait les 100.000 gardiens qui perçoivent un salaire cumulé de 900 millions d’euros. Soit 1,2 milliard, charges patronales comprises.
Car ce métier est en diminution. Selon une estimation du député UMP Pierre Lellouche, 10.000 emplois de gardiens d’immeuble auraient été supprimés au cours des dix dernières années, pour la seule région Ile-de-France.
Un coût supérieur à un milliard
En plus de moyens, le rapport propose de «demander à l’Agence nationale pour l’emploi d’entreprendre une campagne d’information sur le métier de gardien d’immeuble» notamment auprès des jeunes et des propriétaires et syndics de copropriété.
Une mesure qui aurait, au final, un coût fiscal de l’ordre de 70 millions d’euros, si elle concernait les 100.000 gardiens qui perçoivent un salaire cumulé de 900 millions d’euros. Soit 1,2 milliard, charges patronales comprises.
