Le réalisateur américain Sydney Pollack était lundi soir à la Cinémathèque française à Paris pour présenter un documentaire sur son ami architecte Frank Gehry, en salle le 13 septembre. Intitulé «Esquisses de Frank Gehry», le film, projeté dans l’unique bâtiment de Gehry en France, dessine le portrait d’un artiste inspiré et plein d’humour.
Salle comble à la Cinémathèque française (Paris) ce lundi 11 septembre 2006 pour assister à la projection en avant-première du film Esquisses de Frank Gehry, en présence du réalisateur Sydney Pollack. Dans ce documentaire, Gehry et Pollack, amis de longue date, parlent en toute simplicité du travail d’architecte : des sources d’inspirations, parfois fantasques, aux bricolages de maquettes en carton, de l’excitation des chantiers au blues d’après livraison.
Au cours des 83 minutes du film, plus d’une quinzaine de bâtiments défilent sur la toile, dont le musée Guggenheim de Bilbao (Espagne), le Walt Disney Concert Hall de Los Angeles (Etats-Unis) et la Banque DG de Berlin (Allemagne) qui figurent sur l’affiche. La caméra de Sydney Pollack capte tantôt les reflets du soleil, tantôt les gouttes de pluie qui glissent sur les surfaces virevoltantes caractéristiques du style Gehry.
Témoignages
Pour mieux comprendre tout le tapage qui entoure Gehry, le réalisateur est allé à la rencontre des fans du travail de l’architecte, de ses détracteurs et même de son psy. L’architecte américain Philip Johnson trouve qu’il a tout compris à la lumière. Et les maîtres d’ouvrage apprécient l’union entre beauté sculpturale et fonctionnalité. En revanche, les critiques américains n’hésitent pas à dire que ses projets ont tendance à se répéter, voire pour certains à être hideux. Mais son psy assure que l’ego de Gehry n’en est pas affecté, car c’est un homme qui a su prendre confiance en lui. Le film regorge d’anecdotes, toutes plus drôles les unes que les autres, qui rendent cette star internationale de l’architecture vraiment sympathique. La bande annonce est visible sur le site Internet www.esquisses-lefilm.com.
Au cours des 83 minutes du film, plus d’une quinzaine de bâtiments défilent sur la toile, dont le musée Guggenheim de Bilbao (Espagne), le Walt Disney Concert Hall de Los Angeles (Etats-Unis) et la Banque DG de Berlin (Allemagne) qui figurent sur l’affiche. La caméra de Sydney Pollack capte tantôt les reflets du soleil, tantôt les gouttes de pluie qui glissent sur les surfaces virevoltantes caractéristiques du style Gehry.
Témoignages
Pour mieux comprendre tout le tapage qui entoure Gehry, le réalisateur est allé à la rencontre des fans du travail de l’architecte, de ses détracteurs et même de son psy. L’architecte américain Philip Johnson trouve qu’il a tout compris à la lumière. Et les maîtres d’ouvrage apprécient l’union entre beauté sculpturale et fonctionnalité. En revanche, les critiques américains n’hésitent pas à dire que ses projets ont tendance à se répéter, voire pour certains à être hideux. Mais son psy assure que l’ego de Gehry n’en est pas affecté, car c’est un homme qui a su prendre confiance en lui. Le film regorge d’anecdotes, toutes plus drôles les unes que les autres, qui rendent cette star internationale de l’architecture vraiment sympathique. La bande annonce est visible sur le site Internet www.esquisses-lefilm.com.
