Le gouvernement grec s'est engagé mercredi à régler au plus vite les dettes de l'Etat envers les grandes sociétés du bâtiment.
Cette annonce vient après les protestations de quinze grandes compagnies du secteur, qui avaient participé à la construction du village olympique pour les Jeux d'Athènes.
"Les questions financières en suspens et les dettes de l'Etat envers le secteur du bâtiment vont être réglées au plus vite, pour que l'Etat assume ces obligations", a déclaré le ministre des Travaux Publics, Georges Souflias, à l'issue d'une rencontre avec une délégation de la Fédération grecque des grandes entreprises de construction.
Le président de la Fédération, Georges Syrianos, s'est félicité de cet engagement, en estimant que les dettes de l'Etat envers tout le secteur dépassaient un milliard d'euros.
La Fédération avait relayé en octobre la grogne de quinze sociétés ayant participé à la construction du Village olympique, le plus grand ouvrage des Jeux 2004, face aux retards dans le versement des sommes qui leur sont dues.
Ces compagnies avaient exigé leur paiement immédiat pour mener à bien les travaux encore nécessaires au Village, en vue de sa transformation en une zone d'habitation pour familles à revenus modestes.
La société Village Olympique avait toutefois récusé qu'il y ait eu retard dans les paiements.
"Les questions financières en suspens et les dettes de l'Etat envers le secteur du bâtiment vont être réglées au plus vite, pour que l'Etat assume ces obligations", a déclaré le ministre des Travaux Publics, Georges Souflias, à l'issue d'une rencontre avec une délégation de la Fédération grecque des grandes entreprises de construction.
Le président de la Fédération, Georges Syrianos, s'est félicité de cet engagement, en estimant que les dettes de l'Etat envers tout le secteur dépassaient un milliard d'euros.
La Fédération avait relayé en octobre la grogne de quinze sociétés ayant participé à la construction du Village olympique, le plus grand ouvrage des Jeux 2004, face aux retards dans le versement des sommes qui leur sont dues.
Ces compagnies avaient exigé leur paiement immédiat pour mener à bien les travaux encore nécessaires au Village, en vue de sa transformation en une zone d'habitation pour familles à revenus modestes.
La société Village Olympique avait toutefois récusé qu'il y ait eu retard dans les paiements.
