La Commission européenne a approuvé lundi le nouveau plan français attribuant les quotas de CO2 aux industries les plus polluantes entre 2008 et 2012. Les entreprises françaises seront autorisées à émettre 132,8 millions de tonnes de CO2 par an.
A quelques jours de la 5ème édition de la semaine du développement durable, la Commission européenne vient d'approuver le plan français concernant les émissions de CO2 produites par les industries européennes «énergivores» entre 2008 et 2012.
Ainsi les entreprises comme les centrales électriques, les usines de sidérurgie? qui produisent près de la moitié des émissions de CO2 en Europe seront soumis à des quotas.
Les industries françaises seront autorisées à émettre 132,8 millions de tonnes de CO2 par an, les polonaises pourront produire jusqu'à 208,5 tonnes et les tchèques 86,8 millions de tonnes.
L'objectif de ce plan est de permettre aux pays de l'union européenne de respecter le protocole de Kyoto dans lequel ils s'engagent à réduire les émissions de gaz à effet de serre, dont le CO2 est le principal, de 8% en 2012 par rapport à 1990. Il s'agit en fait de développer des technologies propres en donnant un prix au carbone, par la suite les entreprises qui réussissent à réduire leurs émissions peuvent revendre leurs quotas inutilisés à d'autres entreprises qui n'y arrivent pas.
Ainsi les entreprises comme les centrales électriques, les usines de sidérurgie? qui produisent près de la moitié des émissions de CO2 en Europe seront soumis à des quotas.
Les industries françaises seront autorisées à émettre 132,8 millions de tonnes de CO2 par an, les polonaises pourront produire jusqu'à 208,5 tonnes et les tchèques 86,8 millions de tonnes.
L'objectif de ce plan est de permettre aux pays de l'union européenne de respecter le protocole de Kyoto dans lequel ils s'engagent à réduire les émissions de gaz à effet de serre, dont le CO2 est le principal, de 8% en 2012 par rapport à 1990. Il s'agit en fait de développer des technologies propres en donnant un prix au carbone, par la suite les entreprises qui réussissent à réduire leurs émissions peuvent revendre leurs quotas inutilisés à d'autres entreprises qui n'y arrivent pas.
