Le groupe américain CB Richard Ellis, spécialisé dans les services en immobilier d’entreprise, a annoncé un bénéfice net de 318 millions de dollars et un chiffre d’affaires de 4 milliards de dollars.
CB Richard Ellis, groupe mondial de services en immobilier d’entreprise, affiche sur l’année 2006 un bénéfice net de 318,6 millions de dollars, soit 1,35 dollars par action diluée, comparé à un bénéfice net de 217,3 millions de dollars, soit 0,95 dollars par action diluée pour l’année 2005.
Le chiffre d’affaires pour l’année 2006 est de 4 milliards de dollars, soit une augmentation de 838 millions de dollars, ce qui représente + 26,2% par rapport à 2005. Cette croissance s’explique pour plus des deux tiers par la croissance interne du groupe et pour le reste par les acquisitions réalisées en 2005 et 2006.
A la suite de ces bons résultats, Brett White, pdg de CB Richard Ellis déclare : «la performance du groupe en 2006 résulte de la très puissante plate-forme que nous avons construite et que nous continuons d’améliorer pour le plus grand bénéfice de nos clients», avant d’ajouter : «l’immobilier attire toujours plus les investisseurs institutionnels et les fonds de capital de l’investissement notamment sur les marchés à forte croissance d’Asie et dans les centres d’affaires traditionnels comme New-York, Londres ou Paris».
Le chiffre d’affaires pour l’année 2006 est de 4 milliards de dollars, soit une augmentation de 838 millions de dollars, ce qui représente + 26,2% par rapport à 2005. Cette croissance s’explique pour plus des deux tiers par la croissance interne du groupe et pour le reste par les acquisitions réalisées en 2005 et 2006.
A la suite de ces bons résultats, Brett White, pdg de CB Richard Ellis déclare : «la performance du groupe en 2006 résulte de la très puissante plate-forme que nous avons construite et que nous continuons d’améliorer pour le plus grand bénéfice de nos clients», avant d’ajouter : «l’immobilier attire toujours plus les investisseurs institutionnels et les fonds de capital de l’investissement notamment sur les marchés à forte croissance d’Asie et dans les centres d’affaires traditionnels comme New-York, Londres ou Paris».
