VIGILANCE. Dans un contexte réglementaire où les matériaux biosourcés sont propulsés sur le devant de la scène, les acteurs de la construction doivent se montrer prudents dans leur mise en œuvre. Deux risques sont à surveiller : l'humidité et l'incendie. Retours d'expérience avec l'AQC.


Le marché des matériaux biosourcés ne faiblit pas. Mieux, il gagne du terrain depuis ces 5 dernières années. Selon une étude de l'Association des Industriels de la Construction Biosourcée (AICB), ce sont 130 millions de m² d'isolants biosourcés qui ont été posés entre 2016 et 2020. En volume, cela représente une hausse de +87% ! Les chiffres traduisent donc une tendance forte vers ces types de matériaux, boostée par la réglementation et les défis climatiques.

 

"(…)La composante "organique" rend le biosourcé plus sensible"

 

Sur le terrain, les acteurs de la construction sont en ordre marche et mettent en œuvre ces solutions depuis près d'une dizaine d'années. A l'occasion du salon lyonnais Be Positive qui se tient du 21 au 23 mars, Mariangel Sanchez, ingénieure en suivi des innovations chez l'Agence Qualité Construction (AQC) a livré des retours d'expériences
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