La première pierre de la construction du Memorial ACTe, en mémoire à la traite et à l’esclavage, a été posée le 27 mai dernier dans la ville de Pointe-à-Pitre. Un pilier central évoquant un tronc et un feuillage à l’aspect métallique font référence à l’arbre des anciennes plantations : le figuier. Découverte en images.
Le député et président du Conseil Régional de la Guadeloupe, Victorin Lurel, a déposé le 27 mai dernier la première pierre de ce qui deviendra le Centre caribéen d’expressions et de mémoire de la traite et de l’esclavage : «Permettre aux Guadeloupéens, aux Caribéens et aux peuples du monde entier, descendants ou non d’esclaves, d’affirmer qu’ils sont tous issus de l’esclavage».
Mais si l’idée du projet est de réaliser un lieu de commémoration de l’esclavage, c’est aussi pour aller de l’avant. C’est ce qui apparaît dans le nom de ce musée : ACTe où le choix a été fait de laisser les trois premières lettres en majuscules afin d’appuyer l’ambition internationale du lieu.
Un bâtiment à l’image d’un figuier
Implanté sur le site d’une ancienne usine sucrière, le bâtiment déploiera un feuillage à l’aspect métallique et reposera sur un pilier similaire à un tronc pour évoquer un «figuier maudit», comme on l’appelle en Guadeloupe. Car les figuiers occupaient généralement les anciennes plantations. Le bâti concernera une surface de 4.350 m² avec deux extensions possibles de 2.000 m² et 2.300 m² pour les expositions et arts vivants. Le parvis et l’espace de commémoration s’étaleront sur 3.200 m². Pour les espaces verts, un jardin de 2,2 hectares, le «Morne Mémoire», sera relié au mémorial par deux passerelles.
L’exposition permanente présente l’esclavage de l’antiquité à la société contemporaine. L’approche différera suivant l’île que découvrira le visiteur, choisissant lui-même son parcours. Quant aux expositions temporaires, il s’agit de situer les Caraïbes en faisant écho au monde contemporain. Ce concept scénographique a été initié par les concepteurs du lieu : le cabinet d’architecture BMC et le cabinet d’architecture Doré/Marton.
Découvrez le Memorial ACTe en images
Mais si l’idée du projet est de réaliser un lieu de commémoration de l’esclavage, c’est aussi pour aller de l’avant. C’est ce qui apparaît dans le nom de ce musée : ACTe où le choix a été fait de laisser les trois premières lettres en majuscules afin d’appuyer l’ambition internationale du lieu.
Un bâtiment à l’image d’un figuier
Implanté sur le site d’une ancienne usine sucrière, le bâtiment déploiera un feuillage à l’aspect métallique et reposera sur un pilier similaire à un tronc pour évoquer un «figuier maudit», comme on l’appelle en Guadeloupe. Car les figuiers occupaient généralement les anciennes plantations. Le bâti concernera une surface de 4.350 m² avec deux extensions possibles de 2.000 m² et 2.300 m² pour les expositions et arts vivants. Le parvis et l’espace de commémoration s’étaleront sur 3.200 m². Pour les espaces verts, un jardin de 2,2 hectares, le «Morne Mémoire», sera relié au mémorial par deux passerelles.
L’exposition permanente présente l’esclavage de l’antiquité à la société contemporaine. L’approche différera suivant l’île que découvrira le visiteur, choisissant lui-même son parcours. Quant aux expositions temporaires, il s’agit de situer les Caraïbes en faisant écho au monde contemporain. Ce concept scénographique a été initié par les concepteurs du lieu : le cabinet d’architecture BMC et le cabinet d’architecture Doré/Marton.
Découvrez le Memorial ACTe en images
Fiche technique
Maître d’ouvrage : Conseil Régional de la Guadeloupe
Maîtres d’œuvre :
Architectes : le cabinet BMC et le cabinet Doré/Marton
Architecte chargé de la HQE : Colorado
Bureau d’études : BET Structure&Thermique – BET Fluides – Atelier Marc Mimram
Paysagiste : Agence Ter
Maître d’ouvrage : Conseil Régional de la Guadeloupe
Maîtres d’œuvre :
Architectes : le cabinet BMC et le cabinet Doré/Marton
Architecte chargé de la HQE : Colorado
Bureau d’études : BET Structure&Thermique – BET Fluides – Atelier Marc Mimram
Paysagiste : Agence Ter
