Les derniers chiffres de l'Union nationale des constructeurs de maisons individuelles confirment l'intérêt des français pour le pavillon.
Avec une augmentation de 4,5% des ventes en 2002 par rapport à 2001, le secteur de la maison individuelle a le vent en poupe. En 2002, 183.000 opérations ont été réalisées et des prix en progression de 4 à 5%, a indiqué Christian Louis-Victor, président de l'UNCMI (Union nationale des constructeurs de maisons individuelles).
Par rapport à l'habitat collectif (appartement) les prix à l'achat d'une maison individuelle ont progressé moins rapidement en 2002. Dans le collectif, la hausse s'est révélée en moyenne de 7% en 2002 sur 2001.
Pour le président de l'UNCMI, le secteur de la maison individuelle (56% des Francais habitent dans une maison) est bien orienté grâce aux bas niveaux des taux d'intérêt et à l'attrait de plus en plus marqué des Français envers l'habitat individuel.
Il souligne cependant que les obstacles administratifs (délais d'obtention des permis, principe de précaution ...) risquent à terme de menacer l'activité du secteur, tout comme le fléchissement du nombre de prêt à taux zéro (PTZ) accordé.
Actuellement le gouvernement a tendance à privilégier dans la distribution des prêts à taux zéro les plus défavorisés, en négligeant les classes moyennes, a aussi estimé M. Louis-Victor.
Par rapport à l'habitat collectif (appartement) les prix à l'achat d'une maison individuelle ont progressé moins rapidement en 2002. Dans le collectif, la hausse s'est révélée en moyenne de 7% en 2002 sur 2001.
Pour le président de l'UNCMI, le secteur de la maison individuelle (56% des Francais habitent dans une maison) est bien orienté grâce aux bas niveaux des taux d'intérêt et à l'attrait de plus en plus marqué des Français envers l'habitat individuel.
Il souligne cependant que les obstacles administratifs (délais d'obtention des permis, principe de précaution ...) risquent à terme de menacer l'activité du secteur, tout comme le fléchissement du nombre de prêt à taux zéro (PTZ) accordé.
Actuellement le gouvernement a tendance à privilégier dans la distribution des prêts à taux zéro les plus défavorisés, en négligeant les classes moyennes, a aussi estimé M. Louis-Victor.
