Selon l'étude menée par le Crédit Foncier et le cabinet Asterès rendue publique ce mardi, quatre pays concentrent à eux seuls les deux tiers des volumes de crédits immobiliers souscrits par les particuliers de l'Union européenne. Mais cette concentration masque de très grandes disparités entre les marchés nationaux. Détails.

Selon l'étude Crédit Foncier - Asterès, rendue publique ce mardi 11 décembre, il n'y a pas de culture européenne commune du crédit immobilier. Les marchés nationaux restent en effet très différents les uns des autres et les critères objectifs qui pourraient expliquer ces disparités ne le font pas. "On s'est rendu compte, nous explique Nicolas Pécourt, Directeur Communication externe et RSE, que si l'on rapporte les volumes des encours par pays à, par exemple, la notion d'équilibre démographique ou au nombre d'habitants souscripteurs, ou encore, aux revenus moyens de chacun, etc, cela n'expliquait pas de telles disparités." Une première phase d'études qui pourrait ainsi se conclure sur le fait que le crédit immobilier reste en Europe, fortement associé à un phénomène culturel, à une pratique de marché propre à chacun.

 

Dans le détail, les chiffres de l'étude (qui portent sur les encours de crédit, soit les sommes encore dues par des ménages pour leur achat immobilier, intérêts compris en décembre 2012) révèlent ainsi de nombreuses surprises.

 

Découvrez le détail en pages suivantes.

actionclactionfp