Une vingtaine de communes seraient favorables à l'accueil d'un site de déchets radioactifs de «faible activité à vie longue» (FAVL) dans l'Est de la France selon l'association antinucléaire Stop Transports - Halte au Nucléaire.

Si près de 20 communes seraient favorables à l'accueil d'un site de déchets radioactifs de «faible activité à vie longue» (FAVL) dans l'Est de la France, les communes alsaciennes, regroupées dans cinq cantons bas-rhinois, ne se montrent pas aussi coopératives.
En effet, elles ont répondu «non», lors d'un sondage réalisé par l'Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra) à l'implantation de sites de déchets radioactifs. Selon l'association antinucléaire Stop Transports - Halte au Nucléaire, elles auraient déclaré : «on ne veut pas de poubelle nucléaire chez nous, on a d'autres priorités, c'est un argument défavorable au tourisme, ou bien l'incident du Tricastin a fait une publicité négative».
De son côté, l'Andra a souligné que «dans l'Est (Champagne-Ardennes, Lorraine, Alsace), entre 20 et 30 communes ont donné leur accord pour que des forages soient effectués sur leur territoire afin de vérifier la faisabilité de l'implantation d'un centre qui sera construit entre 2015 et 2019».

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