Le groupe Spie Batignolles a annoncé vendredi, le rachat de la société Eurelec spécialisée dans l'installation électrique. Une acquisition qui lui permet de «revendiquer la maîtrise de contrats de maintenance multi techniques».
L’acquisition d’une entreprise dans le secteur électrique était inscrite dans le projet industriel de Spie Batignolles. C’est aujourd’hui chose faite avec le rachat du groupe Eurelec, un des premiers opérateurs indépendants dans le secteur de l’installation et de la maintenance électriques en France –100 millions d’euros de chiffre d’affaires, 800 collaborateurs– constitué de 21 filiales réparties en Provence-Alpes-Côte d’Azur, Ile-de-France et Aquitaine-Midi-Pyrénées», explique le groupe dans un communiqué.
«Pour nous, c’est une acquisition très importante», commente François-Xavier Clédat, pdg de Spie Batignoles qu’il détient avec 78 cadres dirigeants. Pour Spie Batignolles, qui s'est désolidarisé du groupe britannique Amec et des activités de Spie Trindel en 2003, tout restait à reconstruire dans les métiers de l’électricité. «Eurelec est l’un des derniers indépendants de l’installation électrique», rappelle François-Xavier Clédat.
Spie Batignolles a réalisé en 2004 des résultats historiques, supérieurs aux prévisions du business plan du LMBO, après une année de transition consécutive à la mise en place du LMBO de septembre 2003. Le résultat d’exploitation 2004 se situe à 17,2 millions d’euros soit en progression de 70% par rapport à 2003 et un résultat net 2004 qui a doublé avec 14,2 millions d’euros.
Eurelec Entreprises est un groupe jeune : la holding est créée en septembre 1999 à l’initiative de Jean-Louis Martinez, avec une première série d’implantations (Avignon, Marseille) en région Provence-Alpes-Côte d’Azur. Le groupe poursuit sa politique de rachat et de création de sociétés : le pôle parisien est créé à partir de juin 2000 ; le pôle sud-ouest naît en 2001 du rachat de sociétés à Toulouse et Bordeaux ; les années 2002 et 2003 sont consacrées au développement du pôle parisien. En 2004, le groupe marque une pause dans sa politique d’acquisitions et travaille à consolider son organisation. L’entreprise est organisée en trois pôles de compétences : Les travaux d’installation électrique, les activités de maintenance et l’ingénierie : Euresys, le pôle ingénierie gère des marchés de 500.000 à 8 millions d’euros portant sur les études des structures béton, l’électricité générale, les systèmes de sécurité, l'assistance à la maîtrise d’ouvrage.
«Pour nous, c’est une acquisition très importante», commente François-Xavier Clédat, pdg de Spie Batignoles qu’il détient avec 78 cadres dirigeants. Pour Spie Batignolles, qui s'est désolidarisé du groupe britannique Amec et des activités de Spie Trindel en 2003, tout restait à reconstruire dans les métiers de l’électricité. «Eurelec est l’un des derniers indépendants de l’installation électrique», rappelle François-Xavier Clédat.
Spie Batignolles a réalisé en 2004 des résultats historiques, supérieurs aux prévisions du business plan du LMBO, après une année de transition consécutive à la mise en place du LMBO de septembre 2003. Le résultat d’exploitation 2004 se situe à 17,2 millions d’euros soit en progression de 70% par rapport à 2003 et un résultat net 2004 qui a doublé avec 14,2 millions d’euros.
Eurelec Entreprises est un groupe jeune : la holding est créée en septembre 1999 à l’initiative de Jean-Louis Martinez, avec une première série d’implantations (Avignon, Marseille) en région Provence-Alpes-Côte d’Azur. Le groupe poursuit sa politique de rachat et de création de sociétés : le pôle parisien est créé à partir de juin 2000 ; le pôle sud-ouest naît en 2001 du rachat de sociétés à Toulouse et Bordeaux ; les années 2002 et 2003 sont consacrées au développement du pôle parisien. En 2004, le groupe marque une pause dans sa politique d’acquisitions et travaille à consolider son organisation. L’entreprise est organisée en trois pôles de compétences : Les travaux d’installation électrique, les activités de maintenance et l’ingénierie : Euresys, le pôle ingénierie gère des marchés de 500.000 à 8 millions d’euros portant sur les études des structures béton, l’électricité générale, les systèmes de sécurité, l'assistance à la maîtrise d’ouvrage.
