Le groupe spécialiste de la gestion d'énergie a réalisé un premier trimestre 2011 en augmentation de 26,5% à la même période un an plus tôt. La croissance organique est également à la hausse.

Schneider Electric a terminé le premier trimestre 2011 sur une belle hausse de 26,5% à 4,9 milliards d'euros. «Cette performance reflète à la fois la solidité du groupe au sein des nouvelles économies, qui ont bénéficié d'une croissance robuste et étendue, nos technologies de pointe pour nos cinq marchés et les succès renouvelés des solutions qui aident nos clients à accroître leur efficacité», commente Jean-Pascal Tricoire, président du directoire du groupe spécialiste de la gestion de l'énergie. La croissance organique est également en hausse, à 11,8%.

 

C'est dans la zone Asie-Pacifique que la croissance est la plus importante, avec 39% supplémentaires par rapport au premier trimestre 2010. La Chine, l'Inde, l'Asie du sud-est et le Pacifique affichent une forte progression, tandis que le Japon reste stable malgré les premiers impacts des séismes. L'Europe occidentale, qui représente 35% du chiffre d'affaires du groupe, a progressé de 22% en croissance courante au premier trimestre (6% en croissance organique). L'Italie, la France et l'Allemagne ont été les principaux contributeurs de cette croissance.

 

Concernant l'avenir, Jean-Pascale Tricoire indique que le groupe reste «confiant dans [sa] capacité à améliorer [son] efficacité opérationnelle, obtenue grâce à une forte productivité industrielle et à une baisse du ratio coûts des fonctions support rapportés au chiffre d'affaires». Il ajoute : «Confrontés à un environnement plus inflationniste, notamment en ce qui concerne les matières premières, nous accélérons nos actions sur les prix. Nous confirmons donc nos objectifs annuels d'une croissance organique de 6% à 9%».

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