Mais au-delà du délai de construction, le dirigeant tient à rappeler les faibles coûts d'exploitation de ce type de structure. Les bâtiments disposent d'une isolation importante avec notamment du triple vitrage. Les édifices sont composés d'une isolation et d'une sur-isolation qui fait qu'ils "sont proches du passif", souligne Michel Veillon qui ajoute qu'ils "vont bien au-délà de la RT 2012, au moins 30% en moins". Le mode constructif est également très performant d'un point de vue acoustique, autour de 40-50 dB.
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Autre argument avancé, la performance en termes d'émissions carbone. "Dans la phase construction, la fabrication bois émet peu de CO2 car tout est préfabriqué en usine. C'est l'avantage de la filière sèche. Dans la phase construction, les émissions ont même été divisées par deux", nous confie-t-il.
Enfin, l'industriel s'enorgueillit que "ce programme soit le plus gros programme de logements en bois à étage jamais réalisé en France". Plus de 100.000 m² vont ainsi être construits. La plupart des réalisations commandées par l'Armée sont des R+2, "mais nous pouvons construire jusqu'à R+4", conclut Michel Veillon. S'il n'est pas en mesure nous nous indiquer combien de construction seront réalisées au total, il confie que cela concernera plusieurs dizaines de bâtiments.
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