Sept morts et 14 blessés, tel est le triste bilan d’un incendie survenu lundi soir dans un immeuble du IIIème arrondissement de Paris. Un drame qui intervient seulement trois jours après celui du boulevard Vincent Auriol qui avait coûté la vie à 17 Africains.
Le sinistre s’est déclaré peu avant 22 heures dans une cage d’escalier d’un immeuble de cinq étages situé au 8, rue du Roi doré dans le quartier du Marais. En cours de réhabilitation, l’immeuble était occupé par une douzaine de familles africaines. Au total, plus d’une centaine de pompiers et trente véhicules ont été mobilisés pour affronter cet incendie, qui a été maîtrisé vers 23h30, selon les pompiers.
Quant à l’origine de l’incendie, d’après des sources policières, elle serait «sans doute accidentelle». Les premiers éléments rassemblés par les spécialiste du Laboratoire central de la préfecture de police font «état de circuits électriques et d'installations défectueux», des «fils pendant ça et là». Les locaux étant en outre dans un «état d'insalubrité».
Le feu a pris au 1er étage où les investigations se sont donc aussitôt centrées, selon la même source, mais des gravats sont tombés entre-temps et ont aussitôt été emmenés par le Laboratoire «pour examens». La cause exacte du sinistre était toutefois indéterminée mardi peu avant 11h00.
La saisine de la 1ère division de police judiciaire (DPJ), au lieu de la brigade criminelle comme dans l'incendie du XIIIème arrondissement qui a coûté la vie à 17 Africains il y a trois jours, semble confirmer que la thèse accidentelle «est la plus plausible», selon cette même source.
Concernant le sinistre du XIIIème arrondissement, l’origine était toujours indéterminée mardi matin, a rapporté la même source.
Les sept morts de l'incendie survenu lundi soir, quatre enfants et trois adultes, sont, selon les premiers éléments de l'enquête, de nationalité ivoirienne.
Un nouveau drame qui relance inévitablement la polémique sur les logements sociaux et insalubres.
Quant à l’origine de l’incendie, d’après des sources policières, elle serait «sans doute accidentelle». Les premiers éléments rassemblés par les spécialiste du Laboratoire central de la préfecture de police font «état de circuits électriques et d'installations défectueux», des «fils pendant ça et là». Les locaux étant en outre dans un «état d'insalubrité».
Le feu a pris au 1er étage où les investigations se sont donc aussitôt centrées, selon la même source, mais des gravats sont tombés entre-temps et ont aussitôt été emmenés par le Laboratoire «pour examens». La cause exacte du sinistre était toutefois indéterminée mardi peu avant 11h00.
La saisine de la 1ère division de police judiciaire (DPJ), au lieu de la brigade criminelle comme dans l'incendie du XIIIème arrondissement qui a coûté la vie à 17 Africains il y a trois jours, semble confirmer que la thèse accidentelle «est la plus plausible», selon cette même source.
Concernant le sinistre du XIIIème arrondissement, l’origine était toujours indéterminée mardi matin, a rapporté la même source.
Les sept morts de l'incendie survenu lundi soir, quatre enfants et trois adultes, sont, selon les premiers éléments de l'enquête, de nationalité ivoirienne.
Un nouveau drame qui relance inévitablement la polémique sur les logements sociaux et insalubres.
