Durant six mois, "trois postes de travail ont été créées pour le forage des 250 micro-pieux, de 12 à 17 mètres de profondeur sous les bâtiments existants, afin de "suspendre" provisoirement ou définitivement les structures existantes et permettre la restructuration et la création des nouveaux murs périmétriques ou poteaux des sous-sols", détaille Eiffage lors de la visite du chantier.
Hormis les micro-pieux installés dans les parois, les autres servent à accueillir les nouveaux poteaux de renforts. Une fois les nouveaux poteaux de béton créés, les micropieux sont alors retirés.
"Une limite a été franchie concernant l'acceptabilité des projets" V.Lavergne (architecte)
