C'est pourquoi l'idée du soulèvement d'une table reposant sur 16 poteaux en béton a conquis, dès l'obtention du concours en 2011, le maître d'ouvrage, la Société d'aménagement et d'équipement de la région parisienne (SAERP), l'unité opérationnelle des établissements scolaires de la Région Ile-de-France.

 

Présence d'une "pente douce"

 

D'ailleurs, la présence de cette "pente douce" a eu l'avantage de favoriser la mise en œuvre des éléments du programme du lycée, plutôt attachés aux fonctions partagées avec l'internat par le biais de gradins successifs paysagers. "Après cette traversée du bâtiment en passerelle sur pilotis, nous avons alors pensé à un cheminement dans le jardin qui permette de retrouver la salle et le terrain de sport, puis la demi-pension et la cour de récréation", ajoute Jean Mas.

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