Le groupe de matériaux de construction italien Italcementi a regroupé ses activités de production et distribution d'électricité sous la bannière d'Italgen. L'objectif de cette opération est de se préparer à la dérégulation du marché italien de l'électricité
Détenue à 100% par Italcementi, Italgen qui regroupe les unités de production d'électricité déjà installées sur les différents sites de production du groupe, a pour objet "de valoriser au mieux" cette activité, annonce la société dans un communiqué.
Le groupe cimentier compte déjà trois centrales thermoélectriques d'une puissance de 150 mégawatts et 13 installations hydroélectriques d'une puissance de 50 mégawatts, ainsi que 400 kilomètres de lignes à haute tension qui sont utilisés à l'interne pour les besoins des usines du groupe.
Un plan de modernisation des centrales thermoélectriques et des unités hydroélectriques existantes pour accroître la production ainsi qu'un programme de construction de sept nouvelles centrales thermoélectriques d'une puissance globale de 4.000 mégawatts sont prévus, souligne le communiqué.
L'investissement global pour ces programmes se situe entre 2 et 2,5 milliards d'euros.
L'objectif d'Italgen est de vendre de l'électricité sur le marché italien en cours de libéralisation (35% du marché est déjà ouvert à la concurrence). Le souhait d'Italcementi est qu'Italgen parvienne à s'autofinancer pour réaliser le programme de modernisation et de construction de nouvelles centrales prévu. Cet "autofinancement" pourra être atteint par la cession d'une partie du capital d'Italgen ou bien par la pré-vente de la production électrique. Aussi, le capital de la nouvelle société est ouvert à des partenaires aussi bien industriels que financiers, a précisé un porte-parole du groupe en indiquant qu'Italcementi a déjà des contacts avec plusieurs opérateurs électriques, nationaux et internationaux, en vue d'une participation à ce projet.
Par ailleurs, Italgen indique ne pas être candidate à l'achat de l'une des sociétés de production d'électricité que le numéro un italien de l'électricité Enel met en vente dans le cadre de la libéralisation du secteur.
Le groupe cimentier compte déjà trois centrales thermoélectriques d'une puissance de 150 mégawatts et 13 installations hydroélectriques d'une puissance de 50 mégawatts, ainsi que 400 kilomètres de lignes à haute tension qui sont utilisés à l'interne pour les besoins des usines du groupe.
Un plan de modernisation des centrales thermoélectriques et des unités hydroélectriques existantes pour accroître la production ainsi qu'un programme de construction de sept nouvelles centrales thermoélectriques d'une puissance globale de 4.000 mégawatts sont prévus, souligne le communiqué.
L'investissement global pour ces programmes se situe entre 2 et 2,5 milliards d'euros.
L'objectif d'Italgen est de vendre de l'électricité sur le marché italien en cours de libéralisation (35% du marché est déjà ouvert à la concurrence). Le souhait d'Italcementi est qu'Italgen parvienne à s'autofinancer pour réaliser le programme de modernisation et de construction de nouvelles centrales prévu. Cet "autofinancement" pourra être atteint par la cession d'une partie du capital d'Italgen ou bien par la pré-vente de la production électrique. Aussi, le capital de la nouvelle société est ouvert à des partenaires aussi bien industriels que financiers, a précisé un porte-parole du groupe en indiquant qu'Italcementi a déjà des contacts avec plusieurs opérateurs électriques, nationaux et internationaux, en vue d'une participation à ce projet.
Par ailleurs, Italgen indique ne pas être candidate à l'achat de l'une des sociétés de production d'électricité que le numéro un italien de l'électricité Enel met en vente dans le cadre de la libéralisation du secteur.
