Et si pour le bal du 14 juillet vous alliez découvrir le nouveau centre de secours des Sapeurs Pompiers de Paris à Nanterre, un bâtiment original conçu par les architectes Jean-Marc Ibos et Myrto Vitart.
Construire pour une brigade de soldats du feu, c’est faire coexister dans un même lieu deux programmes différents : d’un côté l’espace professionnel militaire, de l’autre la sphère de la vie privée. Pour une utilisation optimale du site (11.500 m2 de surface), les architectes Jean-Marc Ibos et Myrto Vitart ont proposé de scinder l’opération sur deux plans : à l’horizontalité de la caserne répond la verticalité des logements.
La caserne, pour des raisons d’efficacité quant à la circulation des personnes et des engins, est disposée en U sur deux niveaux, autour de la cour d’exercices. Un plan fonctionnel et rigoureux qui favorise le rassemblement des hommes dans un délai optimum. Le départ des opérations se fait à proximité du bureau central d’information, stratégiquement positionné à l’angle de l’avenue de la République et de l’avenue de l’Industrie. Le retour de feu s’effectuant par l’aile opposée, lieu de maintenance des véhicules.
Tous ces espaces sont enveloppés par une même façade composée d’une vêture en acier inoxydable poli, semblable au casque des sapeurs pompiers. A l’intérieur, les matériaux sont choisis pour leur pérennité (béton) et leur facilité d’entretien. Une couleur emblématique, le rouge, réalise en filigrane le lien entre la caserne et les logements.
Les 30 logements privés pour les familles, tout en participant au projet global, sont clairement dissociés de la caserne par la création d’un volume autonome, revêtu d’un aluminium de couleur cuivrée métallisée. Regroupés en trois plots reliés entre eux par des ponts vitrés, les appartements ont été conçus avec la volonté première d’offrir des vues et des orientations différenciées. Les séjours, ouverts au sud sur des terrasses en bois, possèdent des vitrages colorés dans des tons jaunes, orangés ou rouges qui évoquent de façon elliptique la couleur du feu.
La caserne, pour des raisons d’efficacité quant à la circulation des personnes et des engins, est disposée en U sur deux niveaux, autour de la cour d’exercices. Un plan fonctionnel et rigoureux qui favorise le rassemblement des hommes dans un délai optimum. Le départ des opérations se fait à proximité du bureau central d’information, stratégiquement positionné à l’angle de l’avenue de la République et de l’avenue de l’Industrie. Le retour de feu s’effectuant par l’aile opposée, lieu de maintenance des véhicules.
Tous ces espaces sont enveloppés par une même façade composée d’une vêture en acier inoxydable poli, semblable au casque des sapeurs pompiers. A l’intérieur, les matériaux sont choisis pour leur pérennité (béton) et leur facilité d’entretien. Une couleur emblématique, le rouge, réalise en filigrane le lien entre la caserne et les logements.
Les 30 logements privés pour les familles, tout en participant au projet global, sont clairement dissociés de la caserne par la création d’un volume autonome, revêtu d’un aluminium de couleur cuivrée métallisée. Regroupés en trois plots reliés entre eux par des ponts vitrés, les appartements ont été conçus avec la volonté première d’offrir des vues et des orientations différenciées. Les séjours, ouverts au sud sur des terrasses en bois, possèdent des vitrages colorés dans des tons jaunes, orangés ou rouges qui évoquent de façon elliptique la couleur du feu.
