Enfin, seul "petit candidat" à avoir fait le déplacement, le souverainiste Nicolas Dupont-Aignan (Debout la France !) a lui aussi assuré vouloir "simplifier la vie des PME". "La politique économique de la France est faite pour les entreprises du CAC 40", a-t-il regretté, promettant de nommer un ancien patron de PME au ministère de l'Economie. Afin de lutter contre les distorsions multiples de concurrence, entre TPE et multinationales, vis-à-vis de pays n'ayant pas les mêmes normes fiscales et sociales, il a rappelé qu'"il vise à favoriser les entreprises qui produisent en France, qui ont un comportement patriotique."

 

 

Toutefois, les dirigeants, de l'une des trois grandes organisations patronales représentatives, avec le Medef et l'Union des entreprises de proximité (U2P), ont découvert, l'absence des candidats de gauche à la présidentielle, Benoît Hamon (PS) et de Jean-Luc Mélenchon (La France Insoumise).

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