Le chiffre d'affaires 2000 de la profession est en hausse de 18,3 % par rapport à l'année précédente. Une croissance due en bonne part à l'augmentation de la demande en tuiles, conséquence de la tempête de 1999.

La profession des tuiles et briques affiche sa satisfaction face à la progression de 18,3 % de son chiffre d'affaires au cours de l'année 2000 soit un chiffre global de 5,6 milliards de francs. Forte de ses 6.000 salariés et 143 usines, elle appuie surtout son développement sur la forte hausse de demande en tuiles qui ont connu en 2000 une année exceptionnelle.

En revanche, la brique dite "de façade" ne connaît pas le développement escompté "en raison du manque de main d'oeuvre qualifiée et performante" selon la Fédération Française des Tuiles et Briques. Quant à la brique " de structure ", elle s'oriente vers la "brique monomur terre cuite" sans isolant répondant mieux aux préoccupations en matière d'environnement et de santé.

Le secteur de la terre cuite en France est avant tout dominé par des grands groupes internationaux tels que Saint-Gobain-Terreal, Lafarge Couverture, Imerys, Koramic Tuiles et Wienerberg. Une offre complétée par les entreprises régionales qui répondent mieux aux spécificités locales.

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