Compte tenu de la contrainte du quartier, un seul accès au chantier pour les engins, (rue de Sèvres), a été possible, au lieu de deux ou trois accès normalement. Cette contrainte a amené Eiffage à penser son chantier par phase. "Les sens de circulation au sein du bâtiment évoluent en fonction de l'avancement des travaux", précise le directeur d'exploitation.
Par ailleurs, un espace a été aménagé au 1er sous-sol pour stocker la terre à évacuer. Deux ponts Bailey (structure métallique préfabriquée issue du génie militaire) ont été mis en place entre le RDC et le sous-sol pour assurer en sécurité les allers et venues quotidiens des engins de chantier pour l'évacuation des terres excavées ou des gravats de démolition. "Entre 100 et 300 m3 sont évacués par jour", souligne t-il.
En 2024 comme en 2023, l'emploi dans le BTP va jouer aux "vases communicants"
