Tout juste installée dans la nouvelle maison du paysage, l'Union nationale des entreprises du paysage a profité de cette nouvelle année pour dresser le bilan de 2016 et dévoiler ses objectifs et perspectives pour 2017. Présidentielle, compte pénibilité, TVA réduite, travail illégal… autant de sujets que la Présidente de l'Unep a abordés. Détails.

"2016 a été une année charnière" et 2017 promet d'être "riche", a déclaré Catherine Muller, ce mardi 24 janvier, dans les nouveaux locaux de la maison du paysage situés dans le 20e arrondissement de Paris. Après une visite guidée des lieux - une ancienne usine de métallurgie transformée en garage puis en cabinet d'architectes - la présidente de l'Union des entreprises du paysage (Unep) a fait le point sur l'année passée.

 

"Une année charnière" marquée justement par l'installation dans cette nouvelle maison dédiée au paysage et partagée avec Quali paysage, mais aussi par le renouvellement de son mandat, l'observatoire des villes vertes ou encore par l'étude menée par l'économiste Nicolas Bouzou (lire notre article). Sans oublier, les actions menées sur le terrain et auprès des ministères pour promouvoir le métier.

 

Toutefois, en 2016 "les chiffres ne sont pas très bons" souligne la présidente de l'Unep. Si une reprise s'amorce sur les marchés publics, les marchés du particulier sont en revanche orientés à la baisse. Selon le baromètre Unep-Agrica, le chiffre d'affaires global des entreprises du paysage est de -1%. Avec - 2 % de chiffre d'affaires sur ce segment d'activité au 4e trimestre, la tendance est particulièrement alarmante pour les entrepreneurs du paysage, le marché des particuliers représentant 42 % de leur activité globale. La tendance annuelle 2016 tout marché confondu s'établit à - 1 %.

 

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